Tiller, solution de caisse enregistreuse et de gestion connectée annonce une 2eme levée de fonds pour avoir les moyens de ses ambitions européennes.
La caisse enregistreuse du futur est française. Et, elle veut conquérir le monde. C’est la raison pour laquelle Tiller a levé 4 millions d’euros auprès du fond d’investissement 360 Capital Partners et de business angels prestigieux. On retrouve Nicolas Sireyjol (ex-PDG American Express France), Damien Guermonprez (Lemonway), Philippe Bertinchamps (ex-DG Edenred) ou encore Thierry Petit (ShowroomPrivé).
« Cela va nous servir à recruter plus de 100 personnes. Oui, une centaine de postes ouverts aujourd’hui en CDI, tant au niveau technique qu’au niveau commercial que en appui et en support », indique avec le sourire Dimitri Farber Garcia, co-fondateur et dirigeant de Tiller Systems. Les candidats qui veulent intégrer une startup dynamique savent ce qui leur reste à faire.
Déjà plus de 1000 clients dans huit pays
Tiller va pouvoir également se renforcer pour atteindre ses ambitions à l’international. Elle va ouvrir de nouveaux pays afin de se positionner comme le leader européen en la matière. Fondée en 2014 par Dimitri Farber, Josef Bovet, Vincent Oliveira et Scott Gordon, Tiller enregistre déjà plus de 1000 clients dans huit pays. Elle travaille avec des indépendants, mais aussi avec des grands noms, tels que Monoprix, Lidl ou la Compagnie des Alpes.
[Tweet « Tiller lève 4 millions d’euros afin de se positionner en leader sur le marché européen »]
Un dynamisme qui a convaincu 360 Capital Partners. « Nous avons avant tous été séduits par l’équipe, et sa capacité à générer en peu de temps une croissance aussi impressionnante. Nous sommes par ailleurs convaincus que cette solution est une réponse pertinente aux préoccupations du secteur en termes de digitalisation », déclare le Partner du fonds d’investissement, François Collet.
L’aspect digital du projet est ce qui a plu à l’ancien PDG d’American Express France. « Bénéficier d’un écosystème digital à travers sa caisse enregistreuse, c’est l’idée qui m’a intéressé. Mais ce qui m’a réellement convaincu c’est l’exécution commerciale de l’équipe et ses ambitions audacieuses. », insiste Nicolas Sireyjol.
Avec un tel soutien, il n’est pas incertain de voir la caisse enregistreuse française 2.0 dans tous les points de vente européens. C’est en tout ce qu’on lui souhaite.
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