Face à la recrudescence de la pandémie de Covid-19, le télétravail pourrait bien revenir à l’ordre du jour. Si le gouvernement laisse toujours la main aux entreprises sur le sujet, l’activité à distance reste majoritairement approuvée par les salariés. Une nouvelle proposition de loi visant à créer un Titre-Télétravail annuel a été déposée le 16 novembre dernier.
Le “Titre-Télétravail” permettrait d’allier bien-être du collaborateur et performance de l’entreprise. Inspirée par le « Titre Mobilité » cette indemnité annuelle s’établi à 600 euros. Une somme défiscalisée et exonérée de charges sociales. Dans l’idée elle servirait à couvrir tout ou une partie des frais engagés par les salariés en télétravail. Cette aide peut servir à équiper le domicile du salarié ou bien à louer des tiers lieux. Ces derniers sont très utilisés pour rompre avec l’isolement que les salariés peuvent ressentir si leur activité se fait à distance.
Du côté des entreprises, la volonté d’accompagner les collaborateurs en télétravail est bien là, comme le démontrent les résultats d’une étude de Worklife. Ainsi, 54% des entreprises qui ont publié un accord de télétravail, prévoient une indemnité forfaitaire par jour télétravaillé. Les autres sociétés ont créé une enveloppe destinée à l’achat de matériels pour améliorer le poste de travail à distance.
Cependant ces aides pour équiper les salariés engendrent des gestion de frais importantes. L’obstacle principal pour les dirigeants comme pour leurs collaborateurs reste donc la prise en compte des justificatifs de dépenses. Face à cette complexité Worklife propose de simplifier les achats, à l’image du Titre-Télétravail. Avec la carte de paiement de Worklife, les salariés n’ont plus d’avances de frais à faire. De plus l’employeur peut avoir une vision immédiate sur les dépenses effectuées.
