Après avoir parlé levée de fonds au micro de Widoobiz, Romain Sarels reprend les mots pour nous mettre en garde contre les prétendus business angels.
Lorsque l’on souhaite développer un projet à fort potentiel de croissance, il est souvent indispensable de trouver des financements. Dès lors, il n’est pas rare de faire appel à des business angels. Mais, pour Romain Sarels, gare à ces investisseurs auto-proclamés.
« Quelqu’un qui a de l’argent et qui a envie de l’investir n’est pas forcément un business angel », explique le fondateur de Pubeco. Après avoir épilogué sur « l’effet levée de fonds », Romain Sarels dénonce aujourd’hui une poignée d’entrepreneurs frustrés « qui n’ont jamais osé franchir le pas. »
« Méfiez-vous des frustrés de l’entrepreneuriat »
Pour bien différencier un business angel d’un tartuffe, Romain Sarels préconise de se poser trois questions. Trois toutes petites interrogations qui devraient, sans nul doute, vous aider à bien identifier les véritables motivations de votre donateur.