Être présent sur la première page du moteur de recherche Google est le défi quotidien des entreprises. Celles qui souhaitent s’exporter peuvent appliquer ces quelques conseils d’Alphatrad pour conforter leur référencement à l’international.
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Alphatrad et ses quelques 3 500 traducteurs sans frontières proposent aujourd’hui 5 règles primordiales à respecter.
Appréhender les spécificités du pays et de sa langue
Les mots-clés, indispensables au bon référencement représentent le cœur de la recherche. Les spécificités nationales jouent un rôle crucial. Prenons l’exemple du mot « culotte ». En France, il représente un sous-vêtement. Mais, au Québec il désigne un pantalon. Une subtilité qu’une marque de mode masculine doit prendre en compte. Avoir conscience de ces différences peut constituer un avantage stratégique pour une entreprise.
Se familiariser au référencement international
Les moteurs de recherche aiguillent un internaute vers les sites adéquats à partir de l’analyse de sa langue. La traduction du site de l’entreprise doit donc prendre compte de ce paramètre-clé. Ainsi, créer des adresses en fonction du pays et de la langue peut s’avérer parfaitement pertinent.
Retenir l’attention par un contenu de qualité
À l’instar des courriels mal orthographiés, une traduction imparfaite est perçue comme le signal d’une entreprise peu fiable. Un bon niveau de langage retient les visiteurs. Un vocabulaire approximatif les fait fuir.
Affirmer sa présence sur les réseaux sociaux
Le référencement découle également de la maîtrise des réseaux sociaux. Elle permet d’attirer une clientèle plus jeune et facilite la constitution de véritables communautés de fidèles. Afin de maîtriser les codes verbaux et assurer un bon référencement, faire intervenir un traducteur local peut se révéler pertinent, voire indispensable.
Traduire de manière exhaustive les documents de l’entreprise
Enfin, il est crucial d’assurer la traduction de tous les éléments qui gravitent autour de l’entreprise : mails, newsletters, page facebook, compte twitter, etc. N’oubliez pas également de décliner des supports comme les devis et contrats selon les langues concernées par l’entreprise.
Startuppers, vous êtes désormais avertis.
#Replay : le développement international peut attendre. Notre startupper lève des fonds dans son 3e épisode :
Alexandre Dupont