Father.io : le laser-game dans la vraie vie

Father.io : le laser-game dans la vraie vie

Publié le 28 juillet 2016

Les férus de jeux vidéos risquent de succomber : father.io est le premier jeu vidéo de guerre, qui se joue … n’importe où.

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Jouer aux jeux vidéos change de signification. Imaginez un monde où les gens joueraient dans la rue depuis leur smartphones à un jeu vidéo réel et géolocalisé. Nous ne parlons pas ici de Pokémon GO, qui embrase la toile depuis plusieurs semaines, mais bien de Father.io. Le jeu-vidéo semble avoir franchi un nouveau cap.

Quand la planète devient un terrain de jeu

Actuellement en campagne de crowdfunding sur indiegogo.com, Francesco Ferrazzino a déjà rassemblé plus de 370 000 dollars pour le développement de son jeu. Et c’est loin d’être terminé. L’application, actuellement en phase de bêta-test, témoigne d’un engouement d’un nouveau genre. Les jeux vidéos prenant lieu et place dans la vraie vie rencontrent un incroyable succès.
La polyvalence des supports pris en charge, la simplicité d’installation et l’évidente interaction entre les joueurs garantissent le succès d’un tel projet. La preuve, plus de 20 000 joueurs ont téléchargé la version bêta à travers le monde et 330 000 sont sur liste d’attente. La surface recouverte pas les utilisateurs représente 7 000 000 m2.

Le futur du jeu vidéo ?

Le principe est simple : accrocher un petit boîtier à n’importe quel smartphone et lancer l’application pour démarrer une partie. L’écran reproduit l’image de la caméra et y ajoute des animations telles qu’une arme, un compteur de score et de munitions. Les joueurs se courent après afin d’éliminer leurs adversaires en leur tirant dessus. Le concept a déjà fait ses preuves, mais jamais en mêlant réalité et jeu vidéo.
Le créateur assure que de nombreux événements viendront rythmer la vie du jeu. Objectif : fédérer une véritable communauté et être à l’initiative d’un engouement mondial. Rien que ça.
#Replay : le crowdfunding ? Très peu pour lui. Notre startupper lève des fonds dans son 3e épisode :

Alexandre Dupont

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