Fondateur de Digilinx, Hervé Bloch nous décrit son événement phare, les BigBoss Summer Edition. Cette année, cap vers une destination de rêve : la Crête.
Sable chaud, chemises en lin, et coupes de champagne, difficile de croire qu’il s’agit de business. Et pourtant, c’est la formule à laquelle croit Hervé Bloch, organisateur des BigBoss Summer Edition : « Les gens se trompent, d’abord ils font du business et ensuite ils entretiennent une relation personnelle. Pour nous, c’est l’inverse. On crée une relation, on l’entretient, on devient même copains et après on voit si ça matche au niveau business ».
« Je joue un rôle de directeur de casting »
Avec un ratio de 2/3 d’annonceurs pour 1/3 de prestataires, 330 personnes ont répondu présentes. Hervé Bloch met tout en oeuvre pour que les participants se rencontrent et que des contrats soient signés. En effet, les prestataires du web viennent répondre aux besoins de grands dirigeants du e-commerce, et ce à travers diverses activités : cocktails, speed dating. Chacun peut se rencontrer et tenter de décrocher un contrat.
La compétition reste cependant omniprésente. Seuls 60 prestataires ont la chance de participer à cette édition. De l’autre côté, les dirigeants doivent afficher un chiffre d’affaires supérieur à 10M€. Mais le succès est au rendez-vous. En moyenne, les BigBoss signent chacun un, voire deux contrats. Les prestataires, eux, en décrochent 6. Ce format semble adapté au e-commerce, et va très certainement être décliné en deux nouvelles éditions : Spring et Fall.
Derrière cet événement : Digilinx, une société de conseil spécialisée dans le e-commerce. Elle présente des prestataires à de grands dirigeants afin de répondre à diverses missions : stratégie d’acquisition, fidélisation, etc. Elle est également précurseur d’un système de rémunération au succès. Seul le prestataire sélectionné rémunère l’entreprise, et le dirigeant se voit gratifié d’un appel d’offre à titre gratuit. Un système avantageux, où tout le monde s’y retrouve.
#Replay : Le futur BigBoss du web, c’est peut-être lui. Le 3e épisode du startupper est à découvrir ici :