Loin des studios, Widoobiz rencontre l’entrepreneur et auteur de plusieurs ouvrages, Philippe Bloch. Il ouvre ses portes à Thomas Benzazon, le temps d’une réflexion sur le bonheur.
« Vivre heureux, c’est une obligation morale », assure Philippe Bloch. Dans son ouvrage Tout va mal… Je vais bien !, le fondateur de Columbus Café nous donne la clef pour vivre heureux dans un « monde de merde ». Par exemple, évacuer de son entourage les êtres toxiques, apparaît essentiel.
L’auteur nous suggère aussi de ne plus écouter les gens qui affirment qu’il n’y a plus d’avenir. Le pessimisme, un état d’esprit démodé, semble-t-il. « Vous faites partie d’une génération à qui on raconte des conneries », lance-t-il à Thomas Benzazon. L’auteur insiste sur l’importance d’avoir des rêves, des grands rêves. Finis les « p’tits cafés », les « p’tites clopes » et autres petites actions quotidiennes. Il faut penser grand.
Plus on entreprend, plus on est heureux
Philippe Bloch ne rêve pas cependant d’un monde impossible. Il parle en connaissance de cause. Dans cet entretien, il évoque notamment son éviction de Columbus Café. « C’était d’une violence inouïe. Quelques heures plus tard, j’ai fait le choix de la suite. Il n’y a rien de plus agréable que de rebondir », dit-il.
« Entreprendre aguerrit, surprotéger affaiblit », conclue l’auteur. En effet, plus on est entrepreneur, autonome et fort, plus on sera costaud pour aider les autres. L’entrepreneur prend certes des risques, mais il vit librement. Quoi de mieux que la liberté pour être heureux ? Dans cette émission, le bonheur est à portée de main…