Up Graduate : la formation B2B 2.0

Up Graduate : la formation B2B 2.0

Publié le 25 juin 2015

Pour cette nouvelle émission du WiMoovjee, Bénédicte Sanson, co-fondatrice et déléguée générale du Moovjee, est aujourd’hui en compagnie de Chantal Bonnet, fondatrice d’Hydrogène, pour recevoir Arnaud Blanchon, co-fondateur de Up Graduate.

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Le concept d’Up Graduate est simple et révolutionnaire à la fois. Il consiste à exploiter les nouvelles technologies afin de les mettre au service du formateur d’entreprise, qui va pouvoir coacher collaborateurs, clients et partenaires. Son but est donc d’accompagner les entreprises à faire de la formation professionnelle un avantage compétitif.

Ne pas supprimer des postes, mais simplifier la vie des formateurs

Arnaud Blanchon est intimement convaincu que le e-learning ne remplacera jamais l’échange physique et le partage d’expérience avec l’autre. Les parties les plus théoriques sont digitalisées, mais les cessions de partage de conversations réelles sont conservées. Ainsi, les formateurs ne redoutent plus l’apprentissage en ligne qui va, non pas les remplacer, mais les aider.

Les clients d’Up Graduate

De la multinationale à la start-up, Up Graduate propose tous types d’offres adaptables selon la taille de l’entreprise. Les formateurs indépendants peuvent également profiter de l’offre e-learning, en intégrant les prix des services de la jeune start-up au prix de la formation par le formateur, sous forme d’offre packagée.

Un futur glorieux

Déjà forte de ses 8 salariés acquis en une année, la start-up Up Graduate voit déjà très grand. Arnaud Blanchon compte conquérir le marché des universités en B2B et s’étendre à l’international, en Asie de l’Ouest et en Amérique du Sud.
[Tweet « C’est fondamental de se dire : un projet, une entreprise, ce n’est pas une vie qui se joue »]

Conseils d’entrepreneur

Le jeune entrepreneur énumère quelques conseils, qu’il a lui même appris de sa propre expérience. En outre, Arnaud Blanchon s’est lancé dans un projet avec son frère en 2008 qui n’a pas abouti, avant de créer celui-ci. Mais « l’échec n’a rien de négatif, c’est une manière d’apprendre ». Et s’il ne se lance pas maintenant, à son âge, quand le fera-t-il ?

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