C’est Marcel Saucet qui a déposé la marque Street Marketing™. D’ailleurs, il précise que le concept de « street marketing » est français puisqu’aux États-Unis, on parle plutôt de « guérilla marketing ». Le guérilla marketing est née en 1984 d’un livre de Levingston et signifie simplement une campagne de promotion de marque bon marché et créative. En effet, « lorsque l’on a moins de budget, on devient plus créatif ».

Le street marketing, une des actions de guérilla marketing

Depuis 1984, le guérilla marketing se divise en 4 grandes actions : le buzz marketing (« partir d’online pour finir online »), l’ambush marketing (« parasiter un événement pour se faire remarquer »), le stealth marketing (« faire croire aux consommateurs que ce n’est pas de la publicité »), et l’ambient marketing (« faire une opération en extérieur »). Lorsque la culture de rue est utilisée pour l’ambient marketing, on parle alors de street marketing.

Un savoir faire reconnu

Marcel Saucet a crée une agence de publicité et un laboratoire de formation et conseil (LCA). Il est ainsi présent dans une quinzaine de pays et a des bureaux en Asie, en France et en Californie. Il propose un réel parcours client en trouvant l’idée impactante, puis en traquant le consommateur du début à la fin, afin de savoir combien de ventes l’opération de street marketing à rapporter au client. Ainsi, il peut calculer le ROI d’une opération car, ce qui n’est pas mesurable en marketing n’est pas constatable et n’est pas améliorable. Pour Marcel Saucet, l’opération de street marketing est moins coûteuse qu’une opération de grand média. Elle est plus économique en opérationnel et plus stratégique puisqu’il y a un réel travail sur l’idée, la géolocalisation, le ciblage , le « plus » produit et l’impact.