Rhumes, gastros et autres maladies sont de retour avec l’automne. Widoobiz propose trois citations qui devraient aider l’entrepreneur à prendre soin de sa santé.
Les beaux jours sont terminés. Malgré la rallonge inespérée qu’a bien voulu nous accorder Météo France, le froid, les nuages et la pluie se sont bien installés dans le pays. Résultat, les maladies refont surface : rhumes, bronchites, grippes et gastro-entérites.
Pour éviter de tomber dans ce piège et perdre un maximum de productivité, les entrepreneurs ont intérêt à réciter tous les matins ces phrases d’une grande sagesse.
« Une pomme par jour éloigne le médecin »
Ce proverbe anglais n’est pas près de s’essouffler. Jamais un dicton populaire n’a été aussi explicite sur les bienfaits d’une alimentation équilibrée et riches en nutriments. Une alimentation qui, bien évidemment, reste la meilleure arme de défense contre les attaques des méchants microbes.
Alors, à tous les entrepreneurs adeptes de junk food et de plats réchauffés, il est grand temps d’apprendre à mieux manger. Hippocrate, l’un des pères de la médecine occidentale ne disait-il pas : « Que ton aliment soit ta seule médecine » ?
« Avec la méditation, on sait qu’on va s’emmener soi-même prendre l’air »
Pressé comme une orange, l’entrepreneur a parfois du mal à faire respirer son esprit. Une pause est alors nécessaire.
Attention, il ne s’agit pas de flâner sur Facebook, mais de prendre du temps pour soi. Et pourquoi ne pas le dire : méditer ! Malgré le cancer qui devait l’achever en quelques semaines, David Servan Schreiber a réussi à survivre une vingtaine d’années, grâce entre autre à ses séances de méditation quotidienne.
« Le travail et la tempérance sont favorables à la santé »
Le meilleur moyen de survivre à l’hiver réside également dans la capacité à associer travail et tempérance. C’est la clé de succès pour réussir à fournir un travail de qualité, sans être pollué par la maladie. Pierre Larousse sait de quoi il parle.
Pour réussir à achever une encyclopédie universelle du XIXe siècle, Pierre Larousse a bien été obligé de préserver sa santé. Entre l’acquisition des connaissances, la rédaction et le classement de celles-ci, l’encyclopédiste n’avait absolument pas le droit de tomber malade. Sous peine de perdre un temps précieux.
Un temps que les entrepreneurs ne peuvent également pas se permettre de perdre. Leur santé et celle de leur entreprise en dépend.
Tancrède Blondé