Dans son émission « entre nous », Nathalie Busiaux reçoit Julien Leclercq, directeur général de « Com’presse, parce que vos médias ont une âme… »
Il s’agit d’une agence de presse et de communication dont le métier est de faire des magazines « clés en mains » pour des groupes de presse, des grandes entreprises ou collectivités institutionnelles.
Il y a deux ans, Julien Leclercq reprend la direction de l’agence que sa maman avait créée dans une vieille ferme, à proximité d’un village perdu de 300 habitants.
Il relate son parcours parfois difficile, dans un métier très parisien installé en province. Un parcours hors du commun d’un patron aux méthodes un peu décalées qui a toujours fait du bonheur de ses salariés un de ses objectifs principaux. Pour lui, la qualité du travail est garantie par le bonheur des équipes.
On le dit « gentil », trop souvent. Il a pourtant ouvert un blog : salauddepatron.fr, sur lequel on peut trouver son ouvrage : « Chronique d’un salaud de patron ». Il a souhaité y raconter l’histoire de son entreprise qui prouve qu’opposer les intérêts des salariés et des patrons, c’est idiot. Il décrit également comment les patrons peuvent participer à leur rédemption et démontre que la lutte des classes, c’est d’un autre monde…