Date limite pour le paiement de l’impôt sur les sociétés sous toutes ses formes, les entrepreneurs vont avoir du mal à garder le sourire. Nous tentons quand même le coup…
« La chose la plus difficile à comprendre c’est l’impôt sur le revenu »
Avec cette pointe d’ironie, le père de la théorie de la relativité et co-inventeur de la bombe nucléaire, Albert Einstein, rappelle que l’attente d’un « choc de simplification » en matière de fiscalité ne date pas d’hier.
« Le jour est proche où nous n’aurons plus que « l’impôt » sur les os »
Michel Audiard sait y faire quand il s’agit de jouer avec la langue française. Et, apparemment, la thématique fiscale stimule l’imagination du génial scénariste.
« Éviter de payer des impôts est la seule recherche intellectuelle gratifiante »
Étonnant d’entendre cela de la part du « prince des économistes, John Maynard Keynes. Vraiment ? Au-delà du délicieux humour britannique, rappelez-vous que l’économiste a toujours privilégié la recherche du plein emploi au détriment de l’équilibre budgétaire.
« Je suis fier de payer des impôts. La seule chose c’est que je pourrais être tout aussi fier avec seulement la moitié de la somme ».
Célèbre animateur radio Américain des années 60 et 70, Arthur Godfrey a eu le mérite de mettre à jour la pensée profonde des contribuables de son pays, mais également du monde entier.
« Un millionnaire est un milliardaire qui vient de payer ses impôts »
Chansonnier français prolifique de la deuxième moitié du XXe siècle, Jean Rigaux a le mérite de traduire en une phrase le sentiment de la plupart des chefs d’entreprises après l’acquittement des impôts.
« Il n’y a qu’une seule façon de tuer le capitalisme : des impôts, des impôts et toujours des impôts. «
Il est toujours drôle de voir qu’un entrepreneur peut, de temps à autre, être du même avis que Karl Marx, cet amoureux de toujours du capitalisme économique.
« La France est un pays extrêmement fertile : on y plante des fonctionnaires et il y pousse des impôts ».
Phrase d’autant plus drôle venant d’un homme, Georges Clémenceau, qu’il a siégé à l’extrême gauche lors de ses débuts en politique. Il faut bien dire qu’elle n’avait rien à voir avec celle d’aujourd’hui.