Depuis mai 2012, le harcèlement sexuel revient dans le code pénale de manière beaucoup plus sévère.
Actes répétés ou acte isolé, tout type de harcèlement sexuel est sanctionné si un comportement porte atteinte à la dignité, ou s’il crée une situation dégradante, hostile ou offensante.
Les propos sexistes, le chantage sexuel à l’embauche ou à l’augmentation sont donc par exemple à proscrire.
Côté nouveauté, les stagiaires sont également concernés par cette loi.