Rosaly, Fintech française, dévoile les résultats d’une nouvelle enquête* menée auprès de 1 102 personnes sur le pouvoir d’achat à Noël et la solution de l’acompte sur salaire. Ce sondage montre que les Français souffrent encore d’une baisse de leur pouvoir d’achat. Il révèle aussi de fortes disparités en matière de connaissance autour de l’acompte sur salaire selon les générations ou les zones d’habitation.
Cette année, les Français avouent clairement avoir moins de pouvoir d’achat que lors des précédents Noël. Ce sont surtout les jeunes de moins de 23 ans (79 %) et entre 23 et 43 ans (76 %) qui sont les plus impactés. De plus, d’un point de vue géographique, les personnes dont les budgets ont le plus diminué vivent davantage en banlieue à 79 % ou bien en zone rurale à 77 %.
L’acompte sur salaire, l’alternative au découvert bancaire
Limiter les agios et les frais bancaires étant une priorité dans le contexte économique actuel, l’acompte sur salaire est considéré comme la meilleure alternative au découvert bancaire par 81% des Français (étude OpinionWay pour Rosaly en Oct 23). Pourtant il existe encore une trop grande méconnaissance, d’autant que l’amalgame acompte/avance sur salaire a la vie dure.
En effet, même si l’acompte sur salaire est un droit pour tous les salariés, ce dispositif n’est pas parfaitement maîtrisé et connu de tous. Ce sont les plus de 58 ans qui connaissent le mieux l’acompte sur salaire avec une représentativité de 73 %, juste devant les personnes entre 43 et 58 ans à 66 %. En revanche, les personnes nées après 2000 ne sont que 52 % à savoir qu’elles peuvent demander un acompte à leur patron et les millenials seulement 59 %.
“Dans notre dernière étude, nous constatons que 81% des Français préfèrent avoir recours à l’acompte sur salaire plutôt qu’au découvert bancaire. Il est donc clair que ce droit mérite d’être encore plus connu puisqu’il permet d’aider les Français à l’approche de Noël et qu’il est la meilleure alternative face au découvert en évitant les frais bancaires ou le recours au crédit à la consommation”, a commenté Arbia SMITI, fondatrice de Rosaly.