« Restaurer notre océan et les milieux aquatiques » : un vif intérêt des Français autour de ces enjeux

« Restaurer notre océan et les milieux aquatiques » : un vif intérêt des Français autour de ces enjeux

Publié le 7 décembre 2020

océan

Samedi 5 décembre. Les conclusions d’une grande enquête sur « l’avenir de l’océan, des mers, des lacs, des fleuves et des rivières » ont été présentées. Ces résultats révèlent le vif intérêt porté par les Français aux enjeux de la protection des espaces aquatiques.

Vous aimerez aussi

L’enquête  Starfish 2030 révèle ainsi un vif intérêt porté par les citoyens français aux enjeux de la protection des espaces aquatiques. En effet, 91% des répondants estiment que l’océan, la mer, les fleuves et les rivières représentent un environnement préservé qu’il faut toutefois protéger. Ce choix indique la valeur de ces espaces aquatiques pour une grande majorité. Il révèle également que la menace qui pèse sur ces environnements est largement reconnue par les Français.

Deux grandes menaces liées à l’homme sont identifiées par les répondants. Pour 90% d’entre eux, la principale menace provient des pollutions des espaces aquatiques et de la surexploitation des ressources naturelles. Selon les répondants, la priorité doit être la lutte contre la pollution plastique (84%), devant celle liée aux activités industrielles (77%). La surexploitation, pourtant moins visible, pèse autant aux yeux des interrogés. C’est le signe qu’une prise de conscience sur ces sujets est en marche.

Enfin, les résultats de l’enquête révèlent que, pour les sondés, la préservation des environnements aquatiques passe principalement par l’éducation. 57% estiment que l’enseignement a un rôle à jouer dans la protection de l’environnement. 21% pensent quant à eux que cela passe par un travail de sensibilisation. En informant le grand public sur la contribution essentielle de l’environnement.

Coordonnée par l’Ifremer et réalisée par Chances Conseil et Scenarii Research, l’enquête StarFish 2030 repose sur un questionnaire mis en ligne du 7 au 27 novembre 2020. 6 600 personnes ont répondu à l’enquête.

0 commentaires

Laisser un commentaire