« De l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace et la France est sauvée ». La phrase est historique et, si le contexte a changé, l’ère des révolutions ayant laissé place au temps des transformations, cet impératif demeure.

Il nous faut aujourd’hui sortir d’une sorte de passivité collective, d’un renoncement généralisé face aux mutations d’un monde fait d’accélérations et de globalisation. Si les craintes sont légitimes, elles ne peuvent nous guider, elles ne peuvent constituer ni un cap, ni une finalité. En somme, le temps de la passivité n’est plus, l’heure de l’immobilisme est révolue. L’époque est au changement, les temps sont à l’audace.

« En tant que dirigeant, l’audace ne peut être un simple discours »

Mais finalement, l’audace qu’est-ce que c’est ? Eh bien c’est peut-être avant tout un état d’esprit, une attitude face au monde, face à son entreprise et peut être aussi face à soi-même. En tant que dirigeant, l’audace ne peut être un simple discours, une posture, un argument de communication. Elle constitue un véritable impératif, elle nous pousse à nous réinventer sans cesse, à prendre des risques, à innover, à changer nos modèles, à chercher de nouvelles sources de valeurs, aussi bien financières, industrielles, qu’humaines. L’audace c’est aussi un sens des responsabilités, bannissant le risque excessif et l’inconscience.

« L’audace, c’est le moteur des succès »

Alors vous me direz, concrètement, qu’en est-il ? Je vous répondrai par la fierté d’avoir transformé notre entreprise, d’avoir emmené nos collaborateurs dans une voie nouvelle, génératrice d’une confiance juste et pérenne. L’audace c’est la manifestation de la confiance envers ses équipes, envers ses collaborateurs. C’est aussi le moteur des succès, qui les uns après les autres, constituent les grandes réussites.

L’audace, il ne suffit pas d’en parler, il faut la vivre. Alors soyons audacieux, soyons confiants… nous serons fiers du chemin parcouru.