Publicis co-organise Viva Technology Paris avec le groupe Les Echos. Le président du directoire, Maurice Levy témoigne de sa satisfaction face aux nombreux défis que relève ce rassemblement.
« Cristalliser les énergies ». 6 mois après avoir pris la décision d’organiser Viva Technology, Maurice Levy savoure son plaisir. Au micro de Widoobiz, le dirigeant de Publicis revient sur la valeur ajoutée de ce salon. « Il fallait absolument qu’il y ait un événement de cette nature à Paris afin de montrer que notre pays est un grand pays du numérique et ouvert aux investissements ».
[Tweet « Viva Technology : le plus gros rassemblement de startups de France »]
L’entrepreneur n’a cependant pas voulu être le créateur d’un salon lambda. « Je n’ai pas voulu faire ce qu’il se passait ailleurs », assure-t-il. Il a voulu dépasser le format habituel d’un salon : conférence et innovation. « Nous avons voulu corser les choses avec les challenges posés aux startups par les grandes entreprises. L’idée reste de les faire travailler ensemble », insiste-t-il. À ses yeux, la meilleure méthode pour faire grandir rapidement les jeunes pousses.
« Pourquoi priver le grand public de ces innovations ? »
Maurice Levy a voulu également ouvrir Viva Technology au grand public. « On a l’habitude de se regarder entre nous. On se connaît tous et c’est très bien de se voir. Mais, pourquoi priver le grand public de ces innovations ? Pourquoi les priver de ces rencontres ».
Pour Maurice Lévy, les Français doivent s’emparer de ce sujet. Reste à savoir comment. « On a les 5000 startups. Les 30 000 spectateurs se sont enregistrés. Nous allons voir comment la dernière partie va se passer : le grand public », ajoute le président du directoire de Publicis.
Pour le savoir rendez-vous samedi à Viva Technology.
#Replay : Le startupper est forcément à Viva Technology pour chercher des fonds. C’est par ici que ça se passe :