Au lieu de se ruiner en cadeaux éphémères, les jeunes créateurs auraient plutôt intérêt à se ruer à la rue du Caire à Paris pour intégrer l’accélérateur Numa.
Vite, vite, vite. Tout s’accélère en cette fin d’année : acheter ses cadeaux de Noël, bien finir son année et, surtout pour les startuppers, bien préparer 2016. Comment ? En intégrant des structures qui les aident à aller au bout de leurs rêves. Ça tombe bien, l’accélérateur de startups, Numa, leur laisse jusqu’au 15 décembre (demain) pour s’inscrire et bénéficier de leur programme. Seule condition, être innovant et rattaché au numérique.
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Plus qu’un accélérateur, un écosystème. Numa regroupe toutes les activités dont a besoin un startupper : accélération de startup, organisation de communauté en fonction des activités, accélération de startups et programmes de transformation numérique et d’Open Innovation. Tout un monde qui ne devrait pas déplaire aux plus entreprenants des Français. D’autant plus que Numa organise régulièrement des rencontres avec des modèles, mentors, etc.
53 millions d’euros levés depuis la première saison
Une structure qui a déjà donné de bons résultats. Depuis sa première saison en 2011, 72 startups ont été accompagnées. Plus de 90% d’entre elles existent toujours. Elles ont levé à elles seules 53 millions d’euros de fonds. À noter que Numa est à 90% une structure privée. Elle connaît donc les aléas de la vie d’entrepreneur. Soutenue également par Orange, Google ou encore BNP Paribas, Numa devrait atteindre cette année les 3 millions d’euros de chiffre d’affaires.
Une somme qui devrait vous convaincre de vous inscrire. Néanmoins, si vous doutez encore de l’utilité de postuler dans un programme d’accélérateur, Numa vous conseille de lire un article d’un de ses conseillers et mentors, Fiodor Tonti. Impossible après de ne pas être tenté. La croissance de votre startup en dépend.
