Dagobear inaugure sa première boutique dans le quartier branché du Marais. Le 10 décembre prochain, le 19 rue de Turenne ouvre ses portes aux amateurs de looks travaillés.
« Le bon roi Dagobert a mis sa culotte à l’envers ». Quel autre nom pour une marque qui sublime les sous-vêtements et met à l’honneur les rois de la mode. Après le lancement de la marque sur internet et dans des popshops éphémères, Dagobear ouvre sa boutique en plein centre de Paris. Les sous-vêtements, cravates, chaussettes et autres accessoires pour hommes qui prônent la bonne humeur, s’emparent enfin de leurs propres étagères.
Dagobear veut identifier sa marque à un lieu
« Dans le développement d’une marque, la logique veut qu’on identifie cette marque à un lieu. Avec Alexis Huille mon associé, on a alors choisi de se placer dans le Marais parce que c’est un quartier central de la capitale. C’est aussi idéal pour fidéliser la clientèle habituelle de Dagobear », explique Adrien Lemaire, co-fondateur de Dagobear. Un nouveau point de rendez-vous pour « l’homme urbain qui prend soin de lui », principale cible de la marque.
Noeuds papillon en maille et chaussettes bariolées, Dagobear veut habiller l’homme des temps modernes. A bas les cravates passées de mode, l’entrepreneur peut se différencier en apportant une touche d’originalité à son costume traditionnel. Le chef d’entreprise peut désormais oser un brin de couleur quand il rencontre ses clients.
La startup triple son chiffre d’affaires en un an
Une singularité qui plaît. « Entre 2014 et 2015 on a multiplié notre chiffre d’affaires par 3. Et à priori, on prévoit une croissance similaire pour 2015-2016 », indique le startupper trentenaire. Pour continuer son ascension, Dagobear cherche à lever 350.000 euros dès 2016. La startup se tourne actuellement vers des business angels et industriels du secteur qui connaissent parfaitement le marché.
Une fois la levée de fonds aboutie, les fondateurs souhaitent booster leur développement commercial. L’entreprise compte également consacrer une partie de cette somme aux ressources humaines et à la communication online et offline, via les médias classiques. « Jusqu’à présent on manquait de temps pour relayer nos actualités ou faire connaître notre marque. Avec la levée de fonds, on pourra passer par une agence de presse par exemple », développe Adrien Lemaire.
Dagobear véhicule l’image d’une startup en pleine croissance. Rendez-vous le 10 décembre au 19 rue de Turenne pour suivre son ascension.