Avec le déficit de notre balance commerciale, les entrepreneurs sont engagés à se tourner à l’export.
Alors que l’anglais et la première langue des affaires, les entrepreneurs qui souhaitent internationaliser leurs entreprises sont parfois paralysés par leur maîtrise de la langue de Shakespeare.
« L’entrepreneur décomplexé », c’est le nouveau concept de James Dillon, qu’il développe dans sa chronique hebdomadaire.